Edification

Le goût de Dieu

Hello,

Les porteurs et porteuses de Vie! Vous vous portez bien j’espère, une exception de recevoir l’article en ce jour de la semaine. Qu’il vous apporte inspiration et réconfort.

Désirez, comme des enfants nouveau-nés, le lait spirituel et pur, afin que par lui vous croissiez pour le salut, si vous avez goûté que le Seigneur est bon. (1 Pierre 2 :2)

Goûtez et voyez combien l’Eternel est bon ! Heureux l’homme qui cherche refuge en lui (Psaumes 34 :9)

Il est possible de gouter au Seigneur, à sa personnalité, à ses traits de caractères, à ses ressources. C’est une expérience qui se veut personnelle, personne ne peut la faire à la place de l’autre. A la lumière de ces deux passages, le goût que l’on en retient, c’est « bon. »

Je vais avec cet exemple imparfait issu de mes quelques temps dans la préparation et la commercialisation des repas.

Le client : Audrey, qu’est ce que tu as au menu à me proposer ?

Moi : du yassa au poulet (c’est une sauce commune à certains pays de l’Afrique de l’ouest. On la mange généralement avec du riz blanc, d’autres avec des pattes ou du couscous.)

Le client : Je la connais, cette sauce. Elle est à base d’oignons, qu’on marine avec de la moutarde, on y trouve souvent des olives et des morceaux de carottes

Moi : A vous entendre, je suppose que c’est une de vos sauces préférées ?

Lui : Non, je ne l’ai jamais goûtée. On m’en a parlé et j’ai même la recette écrite.

Mon client ne connait pas la sauce yassa, il n’a aucune expérience avec cette sauce. Il ne saurait faire la différence entre le yassa mariné au jus de citron et le yassa mariné avec du vinaigre de cidre, avec un peu de gingembre et quelques feuilles de menthe en fin de cuisson. Il ne saurait dire si c’est le yassa à la moutarde ou sans qui est bon. Il a juste une connaissance mentale, théorique de la chose.

Je ne peux prétendre connaitre le goût d’un repas, sans l’avoir gouté, peu importe combien de fois j’en ai entendu parler et quel que soit les différentes recettes que j’ai pu écrire. Chacun à son petit art en matière culinaire et pourrait le manier à sa guise.

Il en va de même de la connaissance de Dieu. Nous pouvons lire des choses par ci et par là, mémoriser des versets, naître dans un environnement chrétien, grandir à l’église et y être régulier, connaitre des versets bibliques, transmettre même des connaissances sur Dieu… Ces choses ne sont pas mauvaises, mais il y a le niveau où nous devons faire notre expérience intime et personnelle avec le Seigneur Jésus, afin de pouvoir dire qu’il est ce qu’il dit qu’il est. C’est ce que l’Apôtre Pierre et le Psalmiste nous recommandent : « gouter au Seigneur », Goûter à son essence divine.

As-tu déjà goûté au Seigneur ?

Si tu as déjà gouté à la vérité, tu sauras qu’elle libère, le mensonge perdra son goût en toi.

Si tu as déjà gouté à la sanctification, la fornication, l’impureté sous toutes ses formes te donnera de la nausée. Comme une sœur l’a dit : quand tu sauras la paix qu’il y a à ne plus paniquer à l’approche de chaque date de ton cycle, tu sauras que l’abstinence est bonne, ce n’est pas dans l’intérêt de Dieu seulement, mais dans ton intérêt.

Quand tu goûteras à la miséricorde divine, tu cesseras de condamner les autres pour des choses pour lesquelles Dieu t’a déjà pardonné, aussi.

Quand on goûte à l’amour de Dieu, on ne veut plus se taire, on voudrait que les autres le reçoivent.

Ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté au don céleste, qui ont eu part au Saint-Esprit, qui ont goûté à la bonne parole de Dieu et aux puissances du monde à venir. (Hébreux 6 :4-5)

Il est possible de goûter au ciel, c’est ce moment de communion avec le Seigneur, sans pouvoir expliquer, tu sens que vos cœurs ne font plus qu’un, tu reçois directement de lui, toute chose perd sa valeur, il n’y a que lui.

 C’est ce moment où tu communiques Dieu à une personne, puis tu vois la lumière briller dans ses yeux, elle ne peut que reconnaitre la Seigneurie de Jésus, et décider de le recevoir comme son Sauveur, et tu la vois être transformée par la puissance du Saint-Esprit.

 C’est ce moment où la Bible n’est plus de l’écrit noir sur blanc, mais chaque mot devient vivant et pénètre tout ton être entier, et chaque révélation te donne envie et besoin de découvrir ton Créateur et de l’aimer. Et cette révélation te colle, elle te change, et même ta façon de prier.

Le goût du Seigneur, c’est aussi, lorsque qu’il permet qu’au travers de son Esprit, par notre humanité nous puissions manifester sa divinité par des dons spirituels. Aucun plaisir mondain ne peut se comparer à ce goût.

Tu as besoin de faire ta propre expérience

Il faut absolument goûter au Seigneur, un des hommes de la Bible l’a tellement expérimenté qu’il dit ceci dans :

Philippiens 3 :7-11 :

Mais ces qualités qui étaient pour moi des gains, je les ai regardées comme une perte à cause de Christ.

Et je considère même tout comme une perte à cause du bien suprême qu’est la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur. A cause de lui je me suis laissé dépouiller de tout et je considère tout cela comme des ordures afin de gagner Christ et d’être trouvé en lui non avec ma justice, celle qui vient de la loi, mais avec celle qui s’obtient par la foi en Christ, la justice qui vient de Dieu et qui est fondée sur la foi.

Ainsi je connaîtrai Christ, la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances en devenant conforme à lui dans sa mort pour parvenir, d’une manière ou d’une autre, à la résurrection des morts.

J’ai déjà gouté à l’amour inconditionnel et invincible de Dieu ; j’ai gouté à la paix de Dieu, celle qui ne dépend d’aucun tranquillisant, cela m’a transformé comme toutes les personnes qui l’ont fait avant moi. A l’instar, de la femme samaritaine, lorsqu’elle a goûté au Seigneur, à l’eau vive, sa soif a été étanchée et toutes les autres choses étaient devenues fades pour elles, au point qu’elle a laissé sa cruche pour inviter les autres à venir l’expérimenter.

Le Seigneur est bon, son goût ne change pas en fonction des circonstances. Il n’y a aucune variation en lui. Mais tu dois faire ta propre expérience, ne te contente pas du goût dont parle les autres, ne laisse personne le goûter pour te faire un rapport. Alors, chaque fois que tu ouvriras ta Bible, demande au Saint-Esprit de t’éclairer et t’enseigner à goûter à Dieu.

Je prie afin que tu connaisses le goût du Dieu de la Bible, au Nom Puissant de Jésus-Christ. Amen

Le Rhema, il y a la Vie en ce que nous vous apportons !

À propos de l’auteur

Je suis le produit de l'amour de Dieu, je suis enfant de Dieu par la grâce de mon Sauveur et Seigneur Jésus Christ❤
Je suis citoyenne du Royaume des cieux 😊, résidant au Burkina Faso, l'une des représentations de ce Royaume 😄.

Juriste publiciste de formation. J'ai une petite fibre d'entrepreneure ( ailleurs, quelqu'un pourrait dire que j'ai été sa restauratrice)
La cuisine🍛 est aussi l'une des choses que je fais avec beaucoup de plaisir autant que la lecture et l'écriture✍.

Je partage avec Dieu, le besoin de voir toute personne Le vivre comme le Bon et Responsable Père, par essence et par excellence🤩🤩. Il l'est réellement. C'est pour cela que j'aime Le partager avec les autres tel que Sa Parole Le présente, et cette Parole expérimentée au travers des témoignages: Vivre la plénitude de la Vie Divine en Jésus-Christ, voici la vraie richesse.😍

Humanitaire dans l'âme, je vois l'humanité et j'élève la voix pour la cause des délaissés, de l'indigent et du malheureux . Par et avec ma voix, je milite pour leurs causes et intérêts. Ma voix parle: L'amour de Dieu répare les vies.
Je pense que c'est ce que Jésus aurait fait à ma place... Alors qu'il le fasse au travers de moi.

Un jour, si j'ai l'opportunité, j'aimerai bien servir dans l'humanitaire.❤ Et je m'y prépare.

Actuellement, j'apporte ma petite contribution à un centre d'édition et de publication des œuvres chrétiennes.

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